Vimen Sapabati a pris ses précautions en produisant un affidavit, une vidéo et des enregistrements sonores impliquant des policiers de l'ADSU (Anti-Drug and Smuggling Unit). L’affidavit est solidement argumenté, car toutes les conversations avec les personnes mentionnées ont été enregistrées. Il s'agit notamment de l'agent de la Special Striking Team, le constable M., de l'inspecteur S., qui était affecté à l'ADSU de la Western Division, et du constable A., qui travaillait avec l'ancien commissaire des prisons.

Les noms des policiers ont été masqués.

1. Vimen Sabapati, le constable A. et un autre policier se rencontrent pour discuter de la manière dont les policiers auraient manipulé les informations à son sujet, suite à une demande serait venue de la hiérarchie.

2. Vimen Sabapati révélera également qu'il y avait de l'argent chez lui, mais l'équipe de l'inspecteur S. n'y a pas touché. Il affirme connaître le constable M. car il fréquentait sa salle de sport à Modern. Le constable A. affirme également que l'ASP J. veut sa chute parce qu'il ne se plie pas à ses exigences.

3. La conversation entre Vimen Sabapati et l'inspecteur S. porte sur la perquisition effectuée chez lui. Ils se rencontrent et le policier  avoue comment le constable M. l'aurait manipulé pour effectuer une fouille, en prétendant également que ce dernier serait violent si son équipe perquisitionnait chez lui.

4. Une conversation entre Vimen Sabapati et le constable A., qui déclare avoir fourni la plaque d'immatriculation de ses véhicules.

Voici quelques extraits.